NON A LA SURENCHERE SYNDICALE

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Communiqué de la NDR

Entre l’immobilisme et la fuite en avant par la relance d’une consommation qui, au demeurant, ne faiblit pas, Nicolas Sarkozy a fait le choix raisonnable de la stimulation de l’investissement et de l’accompagnement social en faveur des classes moyennes et des plus démunis.

Nul doute que la gauche et les syndicats irresponsables joueront le jeu de la surenchère en réclamant des mesures qui, si elles étaient appliquées, creuseraient encore les déficits, aggraveraient le poids de la dette et mettraient en péril la crédibilité de la France aux yeux des marchés financiers.

Ni les manifestations, ni les grèves à répétition si emblématiques de cette « spécificité française » qui fait la consternation du monde entier, ni même la crise et ses conséquences sociales, ne doivent détourner le gouvernement de la mission qui lui a été confiée par les Français au printemps 2007: réformer notre pays en profondeur, redonner au travail toute sa place et libérer les énergies tout en maintenant l’ordre républicain et la cohésion nationale par la recherche de l’équité sociale.


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